" Gagner comme ça, c'est incroyable "
20/07/2014 05:25
Nico Dentz (CCF Chambéry, 1er) : « Je me sentais très
bien dès le début de course. Je suis parvenu à me retrouver dans la
bonne échappée. J'ai alors placé une première attaque et nous nous
sommes retrouvés à six devant. Je sentais que j'étais le plus fort.
Lorsque j'accélérai, je voyais que je faisais immédiatement des écarts.
Au début du dernier tour, j'ai attaqué une deuxième fois. Je n'ai jamais
pris plus d'une dizaine de secondes d'avance. Je sentais la victoire,
je la voulais. J'avais déjà quatre succès, mais tous remportés en début
de saison. Ce dernier temps, j'avais toujours de bonnes sensations mais
je ne parvenais pas à concrétiser. Gagner ici, comme cela, c'est
incroyable. C'est ma plus belle victoire. »
Guillaume Gerbaud (Océane U-Top 16, 2e) : « Nous sommes sortis à six à environ vingt kilomètres de l'arrivée. Denz a ensuite attaqué au début du dernier tour. Il n'a jamais pris plus de dix secondes d'avance. Mais personne n'a voulu faire l'effort pour revenir sur lui. J'ai alors lancé le sprint de loin pour faire le maximum de points. Avec cette deuxième place et le bon classement de Sylvain Blanquefort (20e), nous réalisons une très belle opération en grappillant quelques positions. C'est une belle journée pour Océane U-Top 16. »
Guillaume Thévenot (Vendée U, 109e, meilleur grimpeur) : « J'étais le seul membre de Vendée U dans l'échappée de vingt-deux coureurs et j'étais marqué par les deux représentants de l'Armée de terre. Je n'ai pas suivi le groupe de six puis, dans le dernier tour, ma chaîne s'est cassée. C'est frustrant et décevant. Nous sommes désormais dos au mur avant la dernière manche. Mais il faut y croire. C'est ma dernière Coupe de France car je passe professionnel chez Europcar. Je vais tout faire pour aider mon équipe à l'emporter. »
Benoît Sinner (Armée de terre, 7e) : « Nous voulions encore prendre des points sur Vendée U pour aborder la dernière manche dans les meilleures dispositions. Vendée U avait pourtant bien préparé son affaire. Ils nous ont attaqués très tôt. Un coup est parti avec une trentaine d'hommes. Ils étaient cinq, nous étions trois. Cela n'était pas confortable. Heureusement, c'est rentré derrière. Le coup d'après, nous nous sommes retrouvés, cette fois, à deux contre un. Puis nous avons fait le sprint avec David Menut car nous savions que les Vendée U étaient émoussés. La fraîcheur a parlé. »
Yann Guyot (champion de France amateurs, Armée de terre, 80e) : « Je n'avais pas les jambes pour gagner mais pour travailler pour l'équipe. C'est ce que j'ai fait dans le final où j'ai aidé Benoît Sinner. J'ai aussi essayé de protéger l'échappée où nous comptions deux représentants (NDLR : Mathieu Teychenne et Romain Combaud) en cassant les relais. Ce fut une course très dure. »
Guillaume Gerbaud (Océane U-Top 16, 2e) : « Nous sommes sortis à six à environ vingt kilomètres de l'arrivée. Denz a ensuite attaqué au début du dernier tour. Il n'a jamais pris plus de dix secondes d'avance. Mais personne n'a voulu faire l'effort pour revenir sur lui. J'ai alors lancé le sprint de loin pour faire le maximum de points. Avec cette deuxième place et le bon classement de Sylvain Blanquefort (20e), nous réalisons une très belle opération en grappillant quelques positions. C'est une belle journée pour Océane U-Top 16. »
Guillaume Thévenot (Vendée U, 109e, meilleur grimpeur) : « J'étais le seul membre de Vendée U dans l'échappée de vingt-deux coureurs et j'étais marqué par les deux représentants de l'Armée de terre. Je n'ai pas suivi le groupe de six puis, dans le dernier tour, ma chaîne s'est cassée. C'est frustrant et décevant. Nous sommes désormais dos au mur avant la dernière manche. Mais il faut y croire. C'est ma dernière Coupe de France car je passe professionnel chez Europcar. Je vais tout faire pour aider mon équipe à l'emporter. »
Benoît Sinner (Armée de terre, 7e) : « Nous voulions encore prendre des points sur Vendée U pour aborder la dernière manche dans les meilleures dispositions. Vendée U avait pourtant bien préparé son affaire. Ils nous ont attaqués très tôt. Un coup est parti avec une trentaine d'hommes. Ils étaient cinq, nous étions trois. Cela n'était pas confortable. Heureusement, c'est rentré derrière. Le coup d'après, nous nous sommes retrouvés, cette fois, à deux contre un. Puis nous avons fait le sprint avec David Menut car nous savions que les Vendée U étaient émoussés. La fraîcheur a parlé. »
Yann Guyot (champion de France amateurs, Armée de terre, 80e) : « Je n'avais pas les jambes pour gagner mais pour travailler pour l'équipe. C'est ce que j'ai fait dans le final où j'ai aidé Benoît Sinner. J'ai aussi essayé de protéger l'échappée où nous comptions deux représentants (NDLR : Mathieu Teychenne et Romain Combaud) en cassant les relais. Ce fut une course très dure. »
Recueilli par P.S.
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